Chez ulimi conseil, nous apportons du pragmatisme dans cette démarche, souvent laborieuse.

Pour un SDSI solide : 3 principes clés

1 – Les bonnes pratiques d’architecture SI

Pour garantir sa robustesse et sa pérennité, respecter les fondamentaux, prendre en compte les tendances technologiques et préférer les standards et ainsi guider l’évolution du système d’information dans la durée.

2 – La connaissance des solutions du marché

Pour aller vite vers les bons choix, creuser en profondeur les outils et les services technologiques disponibles sur le marché et adoptées dans votre secteur d’activité, et ainsi sélectionner les solutions adaptées aux besoins métiers de l’entreprise.

3 – Les capacités à faire des parties prenantes

Pour garantir un juste alignement entre la cible et les moyens, identifier ses propres compétences et capacités à faire (en JH et en €) et s’ assurer du correct dimensionnement des partenaires, et ainsi bâtir sereinement un plan d’action dans lequel chacun est à sa place.

Mais quels sont les inducteurs qui sécurisent le déploiement des initiatives listées dans un SDSI ?

 La taille des projets et des lots : il est essentiel d’adapter les étapes de réalisation et de fixer des jalons et des livrables intermédiaires. Cela permet aux équipes de concrétiser, de célébrer des réussites mais aussi de s’adapter aux aléas et de s’améliorer pour la suite.

 L’adaptation aux capacités à faire : ce qui revient à réévaluer et à arbitrer objectivement selon les ressources réellement disponibles en internes et mobilisables en externe. Cet exercice est difficile (et souvent mal vécu) car il se base sur l’introspection des initiatives et des projets et demande une mesure des moyens existants, à l’instant présent.

 La robustesse des solutions à déployer : l’expertise est une bonne voie pour garantir que les solutions à déployer respectent la sécurité, la fiabilité et la résilience du système d’information dans son ensemble.

La collaboration des équipes : pour ne pas parler d’agilité… qu’elle soit synchrone ou asynchrone, qu’elle soit outillée ou non, etc… la collaboration repose sur la transparence et sur le fonctionnement en réseau

Nos convictions

Chez ulimi conseil, nous sommes convaincus que le pragmatisme est la clé d’une mise en place réussie du SDSI. Nous mettons notre expertise et notre expérience au service des entreprises pour les accompagner dans cette démarche stratégique, en veillant à ce que le SDSI réponde à leurs besoins spécifiques tout en étant aligné avec leur ambition et leur capacité à faire.

Nous le disons… et nous le faisons.

L’article Schéma Directeur Systèmes d’Information (SDSI) … êtes-vous prêts à affronter les défis de la rentrée ! est apparu en premier sur Ulimi conseil.

Dimanche nous participions au triathlon Olympique de Dinard avec la team Ulimi.

Gil et PY finissent ensemble – François à quelques minutes derrière et Vivian fait le supporter !!

Un superbe organisation, merci à l’ensemble des membres et des bénévoles….

Des sensations différentes mais une grande fierté d’avoir effectué ce challenge en équipe.

Un excellent moment de convivialité en équipe

Un parcours exigeant avec de très jolis spots et paysages.

‌Après l’effort, le réconfort mais pas que…

Nous avons profité de ce magnifique lieu pour nous détendre et reprendre des forces dimanche après l’épreuve.

Lundi, nous sommes restés à Dinard pour joindre l’utile à l’agréable avec un coworking en équipe.

La matinée fut consacré à la revue du site internet, la préparation @‌Space2023 et l’après midi shooting photo sur la plage de Dinard avec …

‌Et ensuite …

Même pas peur on recommence dans 10 jours avec le semi marathon des coopérative agricoles avec l’association Terre de Coeur !

‌

L’article Triathlon Olympique Dinard 2023 est apparu en premier sur Ulimi conseil.

Ce que nous en avons pensé

L’auteur a publié en mai 2022 un panorama européen que nous avons lu avec attention notamment pour sa partie terminale relative à la publication de l’information extra-financière dans ce secteur et qui en fait, à notre connaissance, une référence en la matière.

Nous avons été surpris de noter, que malgré les enjeux forts pour le secteur et la taille des acteurs, seuls 39% des coopératives du top 100 faisaient référence aux Objectifs de Développement Durable de l’ONU.

Nous avons apprécié

• Le développement d’analyses transverses sur le positionnement des coopératives françaises en Europe, les niveaux de rentabilité par taille de coopérative, les niveaux d’internationalisation (plus faibles) des coopératives françaises
• Un rappel intéressant sur le cadre juridique de ces formes de sociétés dans les différents pays
• Une analyse de la variation du poids des grandes coopératives entre 2003 et 2020
• Des fiches sur la coopération agricole par pays avec un comparatif sur le taux de « concentration » du top 10 versus la totalité du secteur
• Le positionnement des coopératives européennes par rapport aux Objectifs de Développement Durable de l’ONU (ODD). Le palmarès étant
  • N°12 – Consommation et production responsables
  • N°13 – Mesure relatives à la lutte contre le changement climatique
  • N°2 – Faim zéro
  • N°15 – Vie terrestre
• Une infographie sur les scopes 1, 2 et 3 d’émissions de Gaz à effet de serre pour les coopératives agricoles en s’appuyant sur le cas de la coopérative Emmi et en retenant que 90% des émissions sont représentées par l’amont agricole. Cela nous semble assez représentatif des % des grandes coopératives polyvalentes françaises dont nous avons eu écho consécutivement à un bilan carbone.
• Des illustrations de stratégies de développement durable de plusieurs grandes coopératives européennes notamment Friesland Campina, Arla, Valio, Sodial, Danish Crown, Agrial, Lantmanen, Vivescia, Tereos, Sudzucker, Anecoop, 
• Avec une comparaison des principaux indicateurs suivis et leur variation sur plusieurs périodes consécutives notamment
  • Les émissions
  • Les consommations d’eau
  • Les consommations d’énergie
  • Les productions d’énergie verte
  • L’équilibre Femmes / Hommes au sein des employés

Nous aurions apprécié

• Pour la partie économique et financière – des graphiques moins complexes et des diapositives plus qualitatives que quantitatives
• Une analyse des évolutions de gouvernance dans ces Grandes coopératives
• Un résumé des grandes opérations de fusions / acquisitions dans le secteur en Europe
• En s’appuyant sur des rapport des autorités de la concurrence (et des concentrations) une analyse des parts de marché et de leur évolution ainsi que les orientations de des décisions de ces autorités lors des opérations de concentration

L’auteur

• Olivier Frey : Titulaire d’un doctorat en sciences économiques, âgé de 43 ans, Olivier est depuis 2009 formateur et consultant indépendant. Spécialisé dans le secteur Agri et Agro. Il s’intéresse à la vie économique, financière, juridique, sociale des entreprises coopératives et aux défis actuels auxquels elles sont confrontées

L’étude

• 232 pages
• Dont 72 pages consacrées à la performance extra-financière et aux stratégies de développement durable
• Tarif: consulter l’auteur

L’article Nous avons lu pour vous – Cartographie et défis des grandes coopératives agricoles européennes est apparu en premier sur Ulimi conseil.

Dans un premier dossier d’une série de 4 qui s’annonce passionnante les journalistes Léna Hespel, Benoît Devault, Hélène Parisot, Alexandra Courty et Isabelle Escoffier dressent un panorama des enjeux et des initiatives autour du carbone en agriculture en Europe et dans le monde.

Le dossier de 13 pages est agréable à lire, bien illustré et nous aide à sortir du cadre franco-français.

Bien étayé techniquement il a le souci de faire de la pédagogie et de rentrer progressivement dans la technicité et les enjeux.

Il permet de bien mettre en évidence au-delà de la séquestration du CO² (et sa financiarisation en cours dont nous avons déjà parlé dans des posts précédents) les volumes et efforts nécessaires en matière d’émissions de Méthane et de protoxyde d’Azote liées respectivement à l’élevage et aux intrants.

Il offre une vision équilibrée des leviers en matière de conservation des sols, de l’eau, de la biodiversité et des équilibres sociaux autant en France qu’en Europe et dans les exemples illustrés aux Etats Unis, au Brésil, en Afrique du Sud ainsi qu’en Nouvelle Zélande.

A lire absolument dans le cadre des plans stratégiques en cours de rédaction et dans le cadre des plans de performance économiques, financiers ou extra-financiers en cours d’élaboration.

Nous avons apprécié

• La pédagogie des premiers articles pour planter le décors, les enjeux, les leviers d’amélioration
• Les illustrations graphiques très pédagogiques
• La convocation d’experts de haut niveau pour renforcer les propos des journalistes notamment Sylvain Pellerin chercheur à l’Inrae et Pierre-Marie Aubert dont nous reparlerons prochainement dans une de nos fiches de lecture
• La mise en avant du modèle français de Label Bas Carbone
• Les différences de points de vue entre la vision européenne « From Farm to Fork » et la vision plus productive et conquérante de l’USDA aux Etats-Unis en particulier au travers de leur programme Climate Smart Commodities
• Le panorama des orientations différentes au travers des exemples illustrés aux Etats Unis, au Brésil, en Afrique du Sud ainsi qu’en Nouvelle Zélande
• Les explications sur les principaux leviers et leurs dernières actualités scientifiques en France ainsi que l’impact potentiel sur la performance des exploitations et l’amplitude des changements de pratiques visant:
  • La généralisation des cultures intermédiaires
  • Le développement de l’agroforesterie et des haies
  • Le remplacement du maïs ensilage par des prairies temporaires pluriannuelles

Nous avons trouvé que les auteurs proposaient des points de vue intéressant sur

• Les labels bas carbone validés en agriculture aujourd’hui
• Les modes de rémunération du carbone et des autres services écosystémique pour les agriculteurs
• L’implication et les initiatives des filières notamment en France, en Europe et aux Etats Unis pour amplifier ces déploiements de pratiques et d’initiatives

Nous aurions apprécié

• Des illustrations moins « occidentales » des initiatives notamment en Inde/Chine ou en Afrique
• Une démarcation plus claire entre les initiatives relevant des émissions de GES, de la séquestration et des autres initiatives
• Un teasing sur le contenu de la prochaine parution de la suite du dossier …

Les auteurs / Journalistes

• Léna Hespel: journaliste scientifique
• Benoît Devault: journaliste indépendant sur l’agriculture et l’industrie agroalimentaire des Etats-Unis, du Canada et du Brésil après plusieurs expériences en entreprise (ADM, Malouine de Courtage)
• Hélène Parisot: ingénieure agronome journaliste pour la France Agricole
• Alexandra Courty: Chef de rubrique élevage à La France Agricole
• Isabelle Escoffier: Journaliste, chef du service Productions végétales chez La France Agricole

Le Dossier

• 13 pages
• https://www.agrodistribution.fr/dossier/conseilagricole-un-ecosystemeen-ebullition-1,2,2796635565.html
• Second volet : https://ulimi.fr/nous-avons-lu-pour-vous-marche-du-carbone-les-points-clefs-pour-se-lancer/

L’article Nous avons lu pour vous – Dossier « Le Carbone en agriculture » 1/4 est apparu en premier sur Ulimi conseil.