Ulimi conseil https://ulimi.fr/ Cultivons votre performance Thu, 25 Apr 2024 07:40:59 +0000 fr-FR hourly 1 https://ulimi.fr/wp-content/uploads/2022/02/cropped-ULIMI_logo_2022_rvb-32x32.png Ulimi conseil https://ulimi.fr/ 32 32 Du trèfle à la fortune, par Alexandre Girard https://ulimi.fr/du-trefle-a-la-fortune-par-alexandre-girard/ Thu, 25 Apr 2024 07:40:58 +0000 https://ulimi.fr/?p=1179 Alexandre Girard et son équipe nous livre une petite série d’articles sur des enjeux de la transition agricole identifiés et peu traités lors d’accompagnements réalisés auprès de coopératives agricoles françaises. Le rôle des coopérative dans la structuration des filières pour les cultures de couverture Sylvain est céréalier dans la Meuse depuis 40 ans. Son exploitation […]

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Alexandre Girard et son équipe nous livre une petite série d’articles sur des enjeux de la transition agricole identifiés et peu traités lors d’accompagnements réalisés auprès de coopératives agricoles françaises.

Le rôle des coopérative dans la structuration des filières pour les cultures de couverture

Sylvain est céréalier dans la Meuse depuis 40 ans. Son exploitation varie chaque année entre blé et orge, avec une culture intermédiaire de trèfle. Il reçoit son conseiller agricole Pierre, qui travaille pour la coopérative locale. Quand Pierre lui présente l’idée de passer du trèfle à la luzerne, une culture de couverture pour laquelle la coopérative est en train de structurer une filière, Sylvain comprend tout le sens de la nouvelle PAC et il est conquis. Il réalise à quel point il est chanceux de faire part d’une coopérative qui a pris les devants dans la structuration des filières de cultures de couverture. Marché conclu.

Autrefois adressée aux terres les plus fragiles, l’obligation de couverture des sols s’applique désormais à l’ensemble des terres arables. Instituée dans un but de préservation de la qualité des sols et de leur biodiversité, cette nouvelle politique n’est pas sans conséquence, puisqu’elle demande aux les agriculteurs d’adopter de nouvelles pratiques et aux coopératives agricoles de se restructurer pour intégrer ces nouvelles filières.

La liste des couverts végétaux est longue : trèfle, luzerne, moutarde, sarrasin…, tout comme leurs bienfaits agroécologiques. Ils sont au cœur des discussions à la table des agriculteurs, qui voient leurs obligations fortement augmenter et recherchent un réel accompagnement de leur coopérative. Quelle plante choisir ? Pour quel effet ? Une multiplicité qui donne des migraines.

La valorisation de plusieurs cultures de couverture, au-delà de leur destruction pour amender la terre, demeure aujourd’hui un point d’interrogation. D’emblée, on peut penser que pour des cultures intermédiaires à vocation apicole (phacélie, sarrasin, mélilot), protéique (féverole, pois, lupin, lentille) et énergétique (colza, chanvre, sorgho), les débouchés seront plus faciles à trouver, mais pour d’autres comme les cultures à vocation fourragère (luzerne, trèfle, etc.), la tâche s’avère plus difficile.

Les difficultés à valoriser une grande partie des cultures de couverture leur donne une mauvaise réputation. Comment monétiser ces productions qui n’ont pas ou peu de débouchés en alimentation humaine, ou seulement des débouchés où la demande est faible. Il existe pourtant de beaux exemples de réussite de l’autre côté de l’Atlantique. Aux États-Unis, premier producteur de luzerne au monde, le foin de luzerne représente la troisième production végétale du pays et génère 11 milliards de dollars par an. La production est majoritairement destinée à l’export, notamment vers la Chine dont l’industrie laitière croissante est très friande du foin de luzerne américain de haute qualité pour nourrir ses bêtes.

Pour les coopératives polyvalentes, il existe une attente de la part de leurs adhérents qu’elles puissent développer et trouver des canaux de valorisation et de commercialisation pour ces productions. Bien que certaines coopératives aient initié des démarches, il y a pour le producteur aujourd’hui un manque-à-gagner par rapport à cette nouvelle imposition règlementaire. La biométhanisation est une belle voie de sortie, mais sa facilité masque-t-elle son faible rendement économique pour l’agriculteur? Et que faire des cultures de couverture qui n’ont pas de vocation bio méthanogène ? Sans surprise, pour un modèle résilient et durable, il faudra trouver les débouchés.

Alors que l’on impose de façon croissante des cultures moins rentables aux agriculteurs, les coopératives, par l’esprit de mutualisation et de volumétrie qu’elles incarnent, peuvent en profiter pour capter de nouveaux adhérents. Ces derniers ne sont pas exempts des nouvelles réglementations et devront aussi mettre en place des cultures de couverture, cependant, il y a fort à parier que leurs clients achetant leur récolte de culture principale seront peu enclins à acheter leur production intermédiaire. Ces producteurs peuvent-ils alors se tourner vers le système coopératif? Tout l’enjeu sera de trouver l’équilibre entre, d’un côté, l’impact de la collecte de ces productions moins rentables et les investissements conséquents qu’elle requiert en termes d’infrastructures qui viendra grever leur performance financière et, de l’autre, la fidélisation et le recrutement de nouveaux adhérents.

Le rôle et la structure des coopératives apparaissent comme un véritable avantage dans ce monde de diversification des cultures. La situation se complique pour les coopératives car les volumes d’une pluralité de cultures de couverture ne sont pas concentrés dans un petit nombre d’exploitations, mais explosés et éclatés en de nombreuses petites exploitations. Il semble improbable qu’une coopérative seule puisse affréter les constructions et équipements nécessaires et adapter son organisation pour assurer la totalité de cette collecte. Dans la recherche de la solution à cette énigme se dévoilent les prémisses d’une collaboration inter-coopératives, qui sera peut-être la condition nécessaire à l’atteinte des volumes indispensables pour garantir un résultat financier positif. Le partenariat et la coopération, à travers les territoires, entre les coopératives, semble émerger comme une piste de réflexion, sur laquelle il faut se pencher.

Les cultures de couverture sont déjà là, le seront davantage demain. Les coopératives doivent donc se poser des questions sur leur rôle dans la filiarisation et la structuration de ces dernières :

–       Les coopératives peuvent-elles privilégier un nombre restreint de cultures de couvertures afin d’avoir les volumes nécessaires pour en extraire une valeur ajoutée?

–       Quel maillage inter-coopératif peut être envisagé pour la valorisation des cultures de couverture?

–       Comment utiliser les cultures de couverture comme avantage de distinction coopérative?

Sources et références :

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Se faire du blé sans en planter ? par Alexandre Girard https://ulimi.fr/se-faire-du-ble-sans-en-planter-par-alexandre-girard/ Thu, 25 Apr 2024 07:30:56 +0000 https://ulimi.fr/?p=1172 Alexandre Girard et son équipe nous livre une petite série d’articles sur des enjeux de la transition agricole identifiés et peu traités lors d’accompagnements réalisés auprès de coopératives agricoles françaises. Le rôle des coopératives auprès des ETA et des héritiers agricoles Louis est le fils d’un agriculteur gersois. À 18 ans, il obtient son bac […]

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Alexandre Girard et son équipe nous livre une petite série d’articles sur des enjeux de la transition agricole identifiés et peu traités lors d’accompagnements réalisés auprès de coopératives agricoles françaises.

Le rôle des coopératives auprès des ETA et des héritiers agricoles

Louis est le fils d’un agriculteur gersois. À 18 ans, il obtient son bac à Auch et quitte le Sud-Ouest pour Paris, où il a choisi de poursuivre des études de droit. Ses parents l’ont vu partir avec fierté, et en regrettant son manque d’intérêt pour l’exploitation et la reprise de la ferme familiale.

Désormais à 40 ans, Louis mène une brillante carrière d’avocat dans un grand cabinet, vit à Clamart dans un pavillon récemment acquis avec sa compagne qui vient d’accoucher de leur deuxième fils. Il raccroche avec son père, dorénavant trop âgé pour s’occuper de la ferme et souhaitant lui céder son exploitation. Louis n’a ni formation, ni vocation agricole. Sa vie parisienne lui plait, mais il a conscience de l’intérêt financier de conserver des terres agricoles dont les prix augmentent, et il se sent aussi engagé moralement auprès de ses parents qui ont consacré leur vie à ces terres. Alors, comment les conserver sans bouleverser son équilibre de vie actuel ? Peut-il valoriser son héritage familial sans lui-même devenir agriculteur ? Détenir des terres agricoles sans les exploiter, est-ce la solution pour le futur agricole français ? Se faire du blé sans en planter…

Un brin de lumière sur la situation actuelle

Le 15 décembre 2023, Marc Fesneau, ministre de l’Agriculture et de la Souveraineté Alimentaire de la France, présentait le Pacte d’Orientation pour le renouvellement des générations en agriculture – un ensemble de lois et propositions dont l’objectif primordial est de doter l’agriculture française des leviers nécessaires à la reconquête de la souveraineté alimentaire et à la lutte contre le changement climatique dans un contexte de disparition des agriculteurs. Un des principaux de ces mesures étant de redorer le blason du monde agricole et de ses métiers auprès des plus jeunes, à stimuler l’attractivité d’un secteur de plus en plus délaissé par ces derniers.

La problématique de relève est largement connue et reconnue, mais le fait que l’opération de la Ferme France repose déjà largement sur une main-d’œuvre non-familiale est moins assimilé.  Les chiffres de l’UE démontrent que la participation de la main-d’œuvre non familiale en France est largement supérieure à celle de plusieurs pays comparables dont l’Allemagne, les Pays-Bas et l’Espagne. Même en prenant en compte la main-d’œuvre non-permanente nécessaire aux vendages, ce constat demeure. La Ferme France opère donc déjà largement dans un modèle reposant sur une main-d’œuvre extra familiale, mais il est plausible que la prise de décision commerciale et opérationnelle réside encore entre quelques membres d’une même famille, voire un seul.  Or plusieurs entreprises de collecte ou de vente d’intrants se questionnent pour savoir comment se structurera la prise de décision pour les exploitations dans un avenir relativement court lorsque les décideurs à la progéniture urbaine prendront leur retraite, et ce sans égard à qui demeure propriétaire du foncier. En d’autres mots, la production agricole sera-t-elle confiée à des gestionnaires externes, comment ces gestionnaires souhaiteront-ils être servis, seront-ils coopérateurs ou favoriseront-ils les négoces ? Plus important encore, les coopératives pourraient-elles elles-mêmes se voir confier l’exploitation de propriétés détenues par des héritiers agricoles ?

Historiquement, la propriété du foncier et son exploitation ont été jugées comme étant des éléments indissociables. Cependant, la valeur des terres ayant gagnée en importance dans la plupart des régions, l’association propriété-exploitation est remise en question depuis longtemps. Le retournement de l’agriculture française d’un modèle familial vers un modèle entreprenariat « financiarisé » est bien en cours. En 2022, la SAFER a comptabilisé 980 ventes de nue-propriété, soit une hausse de 6% par rapport à l’année précédente. Cela s’inscrit dans la tendance de séparation du foncier de son exploitation, mode de faire-valoir le plus répandu en France en 2020, qui concerne plus de 75% de la SAU (Surface Agricole Utile) du territoire, et qui a vocation à se renforcer dans les prochaines années.

Si les modèles de location de terres ont tant d’avenir c’est parce que, dans ce nouveau climat, être propriétaire et ne pas exploiter est de plus en plus facile grâce à l’émergence d’entreprises spécialisées. On les appelle les ETA, entreprises de travaux agricoles. Leur marché pèse aujourd’hui 4,4 milliards d’euros, on estime que, déjà, 7% du total des exploitations agricoles françaises leur délèguent intégralement les travaux de culture. Cet acteur grandissant, bien qu’il ait toujours existé, gagne en pouvoir, sa sphère d’activités ne cesse de s’étendre et il opère désormais parfois la totalité des travaux agricoles dans un nombre croissant d’exploitations alors qu’il était auparavant contingenté à la location d’équipement agricole. Son nouveau rôle remet en question son rapport de force avec les coopératives agricoles.

Dès lors, trois modèles semblent émerger et se distinguer pour l’exploitation agricole de demain.

Le premier, ressemblerait à celui qui existe déjà aujourd’hui : un exploitant individuel propriétaire qui utilise de la main d’œuvre non familiale pour l’épauler dans ses tâches. Dans ce modèle, les coopératives doivent d’ores et déjà se positionner fortement sur la constitution de bassins de main d’œuvre conséquents pour accompagner les exploitants dans l’opération quotidienne de leurs terres.

Le second permet à des héritiers ou des propriétaires qui n’ont pas le désir d’exploiter leurs terres de déléguer la gestion à un tiers et de ne garder que le rôle de portage du foncier. Là encore, les coopératives peuvent profiter de l’opportunité et se présenter à ces derniers comme de véritables gestionnaires de l’exploitation, promettant un retour financier en fin d’année au propriétaire mais assurant l’entièreté des opérations quotidiennes. Ces terres peuvent ensuite être valorisées au sein de la coopérative et auprès des adhérents, mises par exemple à disposition de jeunes exploitants ou de nouveaux installés qui n’ont pas les moyens ou l’envie d’acheter des terres mais la volonté de les exploiter.

Le troisième enfin, plus fantaisiste, un modèle dans lequel les coopératives s’engagent dans la production afin de conserver le statut agricole des terres se retrouvant sans exploitant. Les coopératives pourraient dès lors devenir elles-mêmes propriétaires et exploitantes de terres, et ainsi devenir concurrente de leurs propriétaires, serait-ce envisageable?


Alors, se faire du blé sans en planter, oui, cela semble possible. Pour un modèle durable en revanche, il faudra d’abord trouver réponse à plusieurs questions fondamentales mais les coopératives peuvent d’ores et déjà porter leur réflexion sur certains sujets d’actualité :

Comment servir les entreprises de travaux agricoles et les faire rester dans la coopérative? Comment gérer le rapport de force entre ETA et coopératives?

Peut-on imaginer un modèle sans engagement foncier pour un exploitant?

Dans quelle mesure les coopératives doivent-elles devenir des sociétés de portage? Doivent-elles devenir des ETA?

Sources et références :

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Nous avons lu pour vous – « Observatoire des industries agroalimentaires » https://ulimi.fr/nous-avons-lu-pour-vous-observatoire-des-industries-agroalimentaires-4/ Mon, 22 Apr 2024 13:09:29 +0000 https://ulimi.fr/?p=1169 L’Observatoire financier des entreprises agroalimentaires a pour objectif de mettre en évidence les tendances du secteur sur les principaux agrégats : activité, marges, rentabilité, endettement et capacité à investir. Le numéro 34 de l’observatoire financier des entreprises agroalimentaires vient de sortir ! Ce numéro est consacré à la filière lait et met en évidence les tendances […]

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L’Observatoire financier des entreprises agroalimentaires a pour objectif de mettre en évidence les tendances du secteur sur les principaux agrégats : activité, marges, rentabilité, endettement et capacité à investir.

Le numéro 34 de l’observatoire financier des entreprises agroalimentaires vient de sortir !

Ce numéro est consacré à la filière lait et met en évidence les tendances du secteur sur les principaux agrégats.

Les analyses et commentaires ont été réalisés par les experts de la Direction de l’Agriculture et de l’Agroalimentaire du Crédit Agricole.

Ce que nous en avons pensé

  • En amont de la filière, la hausse du prix du lait n’a pas suffi à stopper le recul de la collecte laitière. La sécheresse et la flambée des charges à la production notamment les engrais et l’alimentation animale, ont favorisé l’érosion des cheptels
  • Du côté des industriels de la filière, pour faire face à l’envolée des coûts de l’énergie et des matières premières industrielles et agricoles les entreprises ont dû négocier en 2023 des revalorisations de prix avec les distributeurs. Les négociations commerciales 2024 ont été bien plus difficiles en raison d’une pression de la distribution et du gouvernement pour réduire l’inflation alimentaire
  • Les deux dernières années ont été marquées par un déclin généralisé de la consommation à domicile de produits laitiers. A l’inverse la dynamique de consommation est forte en ce qui concerne la RHF (qui pèse 12% de la consommation globale)
  • Malgré la baisse de la consommation en France, La filière lait dans son ensemble a vu son activité croître de manière importante en 2022 à +21 % : cette croissance résulte d’un effet prix en France, et des développements à l’international des leaders.
  • L’EBITDA en valeur a été en hausse pour la filière dans son ensemble. Il est tiré par les performances des leaders en France et à l’international mais et en fort recul pour les PME (plus sensible à la pression de la grande distribution)
  • En 2023, les entreprises ont pu profiter d’un effet de rattrapage avec une revalorisation des prix validée en début d’année et qui s’est appliquée progressivement à partir du 1er semestre
  • La filière est confrontée à des défis majeurs pour les prochaines années : maintenir ses niveaux de productivité et ses marges en France dans un contexte de recul de la consommation te la nécessité de remplacer une génération d’éleveurs qui sera prochainement sur le départ

Nous avons apprécié

  • Le format de la présentation entre textes courts, graphiques lisibles et illustrations
  • La segmentation par taille d’entreprise et métier
  • Une étude qui reprend les principaux agrégats et les illustre
  • Un glossaire détaillé rendant la lecture plus accessible

Nous aurions apprécié

  • Quelques éléments complémentaires sur les données économiques des bilans 2023 et des hypothèses / tendances pour 2024
  • Davantage de détails sur les débouchés internationaux qui représentent une part importante de l’activité du secteur 
  • Un zoom sur les arbitrages / la nature des investissements réalisés (croissance externe, renouvellement, développement…)

L’auteur

Les experts de la Direction de l’Agriculture, de l’Agroalimentaire de Crédit Agricole S.A :

  • Jean-Pierre TOUZET
  • Élisabeth AMARGER,
  • André BAUDELET,
  • Jacques DEVOUCOUX du BUYSSON,
  •  Béatrice EON de CHEZELLES,
  •  Leonid EVSTRATOV,
  • Axel RETALI

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Ulimi : collaboration avec Alexandre Girard https://ulimi.fr/ulimi-collaboration-avec-alexandre-girard/ Mon, 05 Feb 2024 22:05:42 +0000 https://ulimi.fr/?p=1144 🥇🌾🐄Pourquoi Ulimi Conseil et Alexandre Girard ainsi que son équipe au sein d’Aviseo Conseil ont décidé de collaborer au service des acteurs Agro / Agri français ? 💪Pour additionner, que dis-je pour multiplier, les compétences des deux équipes au service de la définition des plans stratégiques et de leur mise en œuvre opérationnelle. ✅Au fait […]

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🥇🌾🐄Pourquoi Ulimi Conseil et Alexandre Girard ainsi que son équipe au sein d’Aviseo Conseil ont décidé de collaborer au service des acteurs Agro / Agri français ?

💪Pour additionner, que dis-je pour multiplier, les compétences des deux équipes au service de la définition des plans stratégiques et de leur mise en œuvre opérationnelle.

✅Au fait c’est quoi une planification Stratégique ?

  • Une planification stratégique est un processus qui permet d’aligner l’ensemble des parties prenantes autour d’une vision et d’une feuille de route commune

Ca c’est le terrain de jeu d’Alexandre Girard et son équipe Manon Ramon, Lisa Tepelian et Constance Gautier, depuis de nombreuses années en Amérique du Nord et en France. Grace à cette expérience des deux côtés de l’atlantique les conseils apportés par l’équipe sont riches et éclairants.

Allez avouons le, ce petit accent québécois d’Alexandre et son enthousiasme à toute épreuve font aussi la différence dans l’animation d’un séminaire d’alignement d’un Conseil d’Administration par exemple.

✅Ensuite, qu’est-ce qu’une mise en œuvre opérationnelle ?

C’est la déclinaison structurée, priorisée et pilotée, le plus souvent sous forme de projet, de toutes les actions sur le terrain qui concourent à l’atteinte des résultats définis dans la planification stratégique. Cette phase nécessite de disposer d’une démarche robuste opérationnellement et financièrement, et de s’appuyer sur des compétences humaines et techniques en gestion de projet.

Ces transformations concernent des dimensions essentielles que sont :

  • Les organisations
  • Les processus métiers
  • Les Ressources Humaines
  • Les Systèmes d’Information

Et là c’est notre terrain de jeu chez Ulimi Conseil. Depuis de nombreuses années nous conduisons des projets réussis dans ce secteur, du haut de bilan jusqu’à la digitalisation.

Alors 200% Agro Agri x 200% Agro Agri cela fait quoi ? 40.000 bonnes raisons de nous rencontrer !

❓Et vous de quand date votre dernier plan stratégique et êtes-vous satisfaits de sa déclinaison opérationnelle?

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Nous avons lu pour vous – « Observatoire des industries agroalimentaires » https://ulimi.fr/nous-avons-lu-pour-vous-observatoire-des-industries-agroalimentaires-3/ Wed, 17 Jan 2024 11:03:39 +0000 https://ulimi.fr/?p=1140 L’Observatoire financier des entreprises agroalimentaires a pour objectif de mettre en évidence les tendances du secteur sur les principaux agrégats : activité, rentabilité, endettement et capacité à investir. Les données analysées sont issues des bilans 2022. Les analyses et commentaires ont été réalisés par les experts de la Direction de l’Agriculture et de l’Agroalimentaire du […]

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L’Observatoire financier des entreprises agroalimentaires a pour objectif de mettre en évidence les tendances du secteur sur les principaux agrégats : activité, rentabilité, endettement et capacité à investir.

Les données analysées sont issues des bilans 2022.

Les analyses et commentaires ont été réalisés par les experts de la Direction de l’Agriculture et de l’Agroalimentaire du Crédit Agricole

Ce que nous retenons

  • Le chiffre d’affaires des coopératives Polyvalentes augmente de 12 % sur l’exercice après 4 années de stabilité, ce qui constitue un record sur un périmètre sensiblement équivalent. Cette hausse s’explique essentiellement par le contexte inflationniste débuté en 2021 et accentué avec le conflit Ukrainien. Cette tendance est particulièrement marquée dans les coopératives très engagées dans les activités amont.
  • Si la tendance est marquée, elle ne doit pas masquer les difficultés subies dans certains secteurs :
    • La grippe aviaire qui affecte les filières de volaille de chair et de foie gras notamment
    • Les aléas climatiques dans une branche légume qui peine à répercuter sur les prix
    • Une activité à l’internationale qui reste structurellement faible (et concentrée sur quelques leaders)
  • La rentabilité des coopératives (Marge brute et EBITDA) a également progressé. Les Coopératives Polyvalentes sont globalement parvenues à répercuter, en valeur, la hausse de leurs coûts à leurs clients. Cependant, dans le paysage agroalimentaire, la rentabilité des Polyvalentes reste relativement faible.

  • Les ratios de leverage et de Gearing se dégradent pour les coopératives polyvalentes de grandes tailles (évolution des dettes non compensées par une évolution de la rentabilité) et l’ensemble du secteur reste sensiblement décorrélé du reste du secteur  agroalimentaire.

Nous avons apprécié

  • Le format de la présentation entre textes courts, graphiques lisibles et illustrations
  • La segmentation par taille d’entreprise et filières
  • Une étude qui reprend les principaux agrégats et les illustre
  • Un glossaire détaillé rendant la lecture plus accessible

Nous aurions apprécié

  • Quelques éléments complémentaires sur les données économiques des bilans 2023 et des hypothèses / tendances pour 2024
  • Davantage de détails sur la nature des investissements réalisés (croissance externe, renouvellement, développement…)

L’auteur

Les experts de la Direction de l’Agriculture, de l’Agroalimentaire de Crédit Agricole S.A :

  • Élisabeth AMARGER,
  • André BAUDELET,
  •  Béatrice EON de CHEZELLES,
  •  Leonid EVSTRATOV,
  • Axel RETALI

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Joyeuses fêtes de fin d’année 2023 https://ulimi.fr/joyeuses-fetes-de-fin-dannee-2023/ Fri, 22 Dec 2023 10:40:58 +0000 https://ulimi.fr/?p=1103 ✨🎉Nous vous souhaitons de bonnes fêtes de fin d’année et une très belle année 2024 !!! Qu’elle rime avec engagement, performance et une pleine réussite dans vos projets. Engagés, nous le sommes depuis de nombreuses années au côté des acteurs économiques qui font l’actualité du secteur Agri et Agro en France. Chez ulimi conseil, l’année […]

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✨🎉Nous vous souhaitons de bonnes fêtes de fin d’année et une très belle année 2024 !!!

Qu’elle rime avec engagement, performance et une pleine réussite dans vos projets.

Engagés, nous le sommes depuis de nombreuses années au côté des acteurs économiques qui font l’actualité du secteur Agri et Agro en France.

Chez ulimi conseil, l’année 2023 fut extrêmement riche avec :

– Une première bougie soufflée pour les 1 an d’Ulimi

– L’arrivée de François Hollande et Vivian Domergue pour doubler les effectifs 😀

– Quelques kilomètres sportifs parcourus en équipe 🏊‍♂️ 🚴‍♂️ 🏃‍♂️

– et surtout de nombreuses rencontres et de très beaux projet que nous avons eu plaisir à accompagner

Donner du sens, faire aimer ce secteur, co-construire l’avenir d’ulimi conseil, lancer dès à présent les prochains recrutements, accompagner nos clients, c’est ce qui guide notre action et nous portera également en 2024.

Pour 2024, cultivons l’esprit d’équipe pour réussir vos transformations.

#agroalimentaire #agriculture #transformation #solution  #ulimiconseil

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Nous avons lu pour vous – « Achats IT écoresponsables : mission impossible ? » https://ulimi.fr/nous-avons-lu-pour-vous-achats-itecoresponsables-mission-impossible/ Wed, 15 Nov 2023 20:55:12 +0000 https://ulimi.fr/?p=1083 L’article du magazine IT for Business de Septembre 2023 pose d’entrée ce dur constat : « mettre en place une démarche d’achats durable dans l’IT relève du véritable parcours du combattant ». Pour autant, l’enjeu environnemental dans le numérique est devenu une préoccupation majeure des entreprises ces dernières années. DSI et services achats doivent faire le tri dans […]

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L’article du magazine IT for Business de Septembre 2023 pose d’entrée ce dur constat : « mettre en place une démarche d’achats durable dans l’IT relève du véritable parcours du combattant ». Pour autant, l’enjeu environnemental dans le numérique est devenu une préoccupation majeure des entreprises ces dernières années.

DSI et services achats doivent faire le tri dans un marché qui commence seulement à se développer et au sein duquel il n’existe que peu de normes. Avec le risque de tomber dans le greenwashing…

Ce que nous en avons pensé

Chez Ulimi, nous avons forcément une sensibilité particulière, l’écoresponsabilité fait partie de nos valeurs. La question s’est d’ailleurs posée récemment et se posera à l’avenir : « Entre deux solutions logicielles ou matérielless, comment choisir le plus écoresponsable ? ».  Aucun écolabel n’existe malheureusement, mais plusieurs pistes sont données par l’autrice (en attendant mieux).

Dans le domaine du logiciel, les indices de sobriété environnementale sont très limités (seul l’écoscore* semble utilisé aujourd’hui) et quelques solutions déclaratives existent, la plus aboutie étant l’Analyse du Cycle de Vie (ACV). Problème, ces démarches sont au bon vouloir des éditeurs.

Même si la demande évolue fortement, il faudra que le maché se structure dans son ensemble si on souhaite constater (et mesurer) des bénéfices réels sur l’environnement.

Cet article nous aura également fait réfléchir à l’utilisation de matériel reconditionné en entreprise, réflexion que l’on devra d’ailleurs étendre à nos pratiques personnelles… Ce n’est pas toujours une alternative rentable et/ou plus propre, mais la question devrait en effet se poser plus souvent.

* : indice de sobriété environnementale lancé par l’Agence du Numérique en Santé – ANS

Nous avons apprécié

  • Un balayage complet du sujet : logiciel, matériel, reconditionné, obsolescence programmée : tout y passe. Et si on se rend compte que parfois, aucune offre adaptée n’est encore proposée, on observe également que beaucoup d’initiatives sur lesquelles capitaliser existent.
  • Les témoins qui apportent une vision réaliste de ce marché complexe à appréhender pour les entreprises et nous informent des difficultés rencontrées, notamment par le fondateur du collectif @GreenIT (@Frédéric Bordage) et d’un vice-président de @Evernex (@Tony Senecal).

Nous aurions apprécié

  • Que le sujet du cloud soit traité plus en profondeur et opposé aux infrastructures plus traditionnelles. Les plus grandes plateformes se targuent d’être sur la voix de (ou d’avoir déjà atteint) la neutralité carbone. Mais qu’en est-il réellement ? Est-ce toujours une meilleure solution ?
  • Une projection des démarches GreenIT face à l’explosion du marché de l’IA générative, voire le témoignage d’acteurs clés de l’IA quant à leur road-map en matière de recherche de sobriété environnementale.

L’autrice

Marie Varandat : https://www.linkedin.com/in/varandat/

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Le cabinet ulimi conseil accueille son 4ème collaborateur et poursuit sa croissance https://ulimi.fr/le-cabinet-ulimi-conseil-accueille-son-4eme-collaborateur-et-poursuit-sa-croissance/ Tue, 31 Oct 2023 11:03:54 +0000 https://ulimi.fr/?p=1076 Créé début mai 2022 par Gil Sandillon et Pierre-Yves Filliol, qui ont tous deux occupé des fonctions opérationnelles dans les coopératives agricoles et l’agroalimentaire et exercé dans de grands cabinets de conseil, le cabinet ulimi conseil poursuit sa croissance. Déjà plus de 20 missions ont été conduites depuis la création auprès de grands noms du secteur […]

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Créé début mai 2022 par Gil Sandillon et Pierre-Yves Filliol, qui ont tous deux occupé des fonctions opérationnelles dans les coopératives agricoles et l’agroalimentaire et exercé dans de grands cabinets de conseil, le cabinet ulimi conseil poursuit sa croissance.

Déjà plus de 20 missions ont été conduites depuis la création auprès de grands noms du secteur au travers de missions d’expertise finance ou Systèmes d’Informations depuis le plan stratégique jusqu’à la conduite de projets opérationnels ou informatiques.

Avec l’arrivée de Vivian Domergue fin août 2023 en tant que Chef de projet SI et Métier après celle de François Hollande Chef de projet Finance et DAF en temps partagé en février 2023, la structure du cabinet s’étoffe comme prévu avec ces profils séniors. De même les implantations géographiques s’élargissent, avec désormais une présence à Nantes, Rennes et Avranches. De plus le cabinet conduit de plus en plus de missions avec son réseau de partenaires et de co-traitants experts du secteur.

« Notre chiffre d’affaires dépassera le demi-million d’euros cette année » indique Gil Sandillon Président de la structure.

« Notre priorité pour le début de l’année 2024 est de stabiliser notre structure d’équipe et de préparer l’accueil de collaborateurs plus juniors pour disposer d’une équipe sur 3 niveaux comme nous l’avions imaginée à la création de l’entreprise » détaille Pierre-Yves Filliol Directeur Général du cabinet.

Les principales thématiques d’actualité portent sur la préparation de l’adaptation à la réforme de la facturation électronique, les opérations de regroupement / cessions d’entreprises et les choix / implantations de solutions et progiciels informatiques.

A propos des Associés

Gil Sandillon a 28 ans d’expérience professionnelle. Dont 17 ans passés au sein du cabinet PwC en tant qu’auditeur financier et Associé en charge de l’activité conseil à Nantes. Il a 10 ans d’expérience opérationnelle au sein du Groupe Leroy Merlin (ADEO) au début des années 2000 et au sein du Groupe Terrena depuis le milieu des années 2010 à des postes de transformation ou de Direction Finance.

Contact : g.sandillon@ulimi.fr

Pierre-Yves Filliol a 24 ans d’expérience professionnelle dont 10 ans passés au sein de cabinets de conseil réputés tels qu’EXEIS ou KPMG et après un début de carrière au sein d’acteurs de l’agroalimentaire à des postes opérationnels et de conduite de projet.

Contact:  py.filliol@ulimi.fr

A propos de ulimi conseil

Cabinet de conseil spécialisé dans les transformations et l’amélioration de la performance dédié à 200% aux secteurs Agri Agro et créé en mai 2022.

Site web : https://www.ulimi.fr

De gauche à droite sur la photo : François Hollande, Vivian Domergue, Pierre-Yves Filliol et Gil Sandillon – cette image n’est pas un photomontage … merci à Bastien notre photographe.

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Nous avons lu pour vous – « Observatoire des industries agroalimentaires » https://ulimi.fr/nous-avons-lu-pour-vous-observatoire-des-industries-agroalimentaires-2/ Tue, 31 Oct 2023 09:12:21 +0000 https://ulimi.fr/?p=1074 L’Observatoire financier des entreprises agroalimentaires a pour objectif de mettre en évidence les tendances du secteur sur les principaux agrégats : activité, marges, rentabilité, endettement et capacité à investir. Les données analysées présentent les impacts de la campagne 2021/22 sur les bilans des professionnels de la filière ( à l’appui des bilans 2021/22 jusqu’au 30/09/2022), […]

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L’Observatoire financier des entreprises agroalimentaires a pour objectif de mettre en évidence les tendances du secteur sur les principaux agrégats : activité, marges, rentabilité, endettement et capacité à investir.

Les données analysées présentent les impacts de la campagne 2021/22 sur les bilans des professionnels de la filière ( à l’appui des bilans 2021/22 jusqu’au 30/09/2022), les données de la récolte 2022 et les projections 2023 jusqu’au 30/09/22.

Les analyses et commentaires ont été réalisés par les experts de la Direction de l’Agriculture et de l’Agroalimentaire du Crédit Agricole

Ce que nous en avons pensé

  • La campagne 2021/22 se solde par un bilan très positif globalement avec une production céréalière de 67 Mt, en hausse de près de 17% par rapport à l’année précédente. Avec une production nationale de grains (céréales-oléagineux-protéagineux) totalisant 74,3 Mt sur la campagne les collecteurs et filières aval ont pu bénéficier d’amples disponibilités tant en quantité qu’en qualité.
  • La campagne céréalière 2021/22 se caractérise par une envolée généralisée des prix des matières premières agricoles, exacerbée par le déclenchement du conflit russo-ukrainien le 24 février propulsant les céréales, les oléagineux et leurs dérivés sur des sommets inédits
  • En 2021/22 Les chiffres d’affaires des « Métiers du Grain » enflent vivement sous l’effet prix des matières premières agricoles, cependant, sous l’effet de l’inflation des charges liées à l’énergie, aux emballages et aux salaires le niveau de rentabilité (EBITDA/CA) reste contrasté. Le secteur Collecte-Appro réussit le tour de force d’améliorer son EBITDA légèrement plus vite que le chiffre d’affaires. Quant à la Boulangerie-viennoiserie-Pâtisserie, l’activité affiche une très forte reprise sous l’impulsion du BtoC
  • Notons sur cet exercice le bond de l’endettement des entreprises des « Métiers du Grain » expliqué par l’accroissement des BFR. Malgré cette évolution, les ratios de leverage (DFN/EBITDA) se maintiennent globalement à l’exception de celui de la Nutrition Animale qui se dégrade nettement
  • En raison de conditions météorologiques défavorables dès le printemps 2022 et d’un recul de surfaces, la récolte française de céréales 2022-2023 baisse de 10,8 % par rapport à 2021-2022.
  • Au niveau mondial, La campagne 2023/24 se solderait par un bilan céréalier proche du record,

Nous avons apprécié

  • Le format de la présentation entre textes courts, graphiques lisibles et illustrations
  • La segmentation par taille d’entreprise et filières
  • Une étude qui reprend les principaux agrégats et les illustre
  • Un glossaire détaillé rendant la lecture plus accessible

Nous aurions apprécié

  • Quelques éléments complémentaires sur les données économiques des bilans 2023 et sur la projection de la campagne 2023/24
  • Davantage de détails sur la nature des investissements réalisés

L’auteur

Les experts de la Direction de l’Agriculture, de l’Agroalimentaire de Crédit Agricole S.A :

  • André BAUDELET,
  • Xavier CASSEDANNE
  • Béatrice EON de CHEZELLES,
  • Leonid EVSTRATOV,
  • Axel RETALI,
  • Frédéric TESSIER.

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Schéma Directeur Systèmes d’Information (SDSI) … êtes-vous prêts à affronter les défis de la rentrée ! https://ulimi.fr/schema-directeur-systemes-dinformation-sdsi-etes-vous-prets-a-affronter-les-defis-de-la-rentree/ Wed, 20 Sep 2023 08:03:39 +0000 https://ulimi.fr/?p=1004 La mise en place d’un SDSI (Schéma Directeur du Système d’Information) est essentielle pour les entreprises qui souhaitent optimiser leur système d’information de manière stratégique et efficace. Chez ulimi conseil, nous apportons du pragmatisme dans cette démarche, souvent laborieuse. Pour un SDSI solide : 3 principes clés 1 – Les bonnes pratiques d’architecture SI Pour garantir sa robustesse […]

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La mise en place d’un SDSI (Schéma Directeur du Système d’Information) est essentielle pour les entreprises qui souhaitent optimiser leur système d’information de manière stratégique et efficace.

Chez ulimi conseil, nous apportons du pragmatisme dans cette démarche, souvent laborieuse.

Pour un SDSI solide : 3 principes clés

1 – Les bonnes pratiques d’architecture SI

Pour garantir sa robustesse et sa pérennité, respecter les fondamentaux, prendre en compte les tendances technologiques et préférer les standards et ainsi guider l’évolution du système d’information dans la durée.

2 – La connaissance des solutions du marché

Pour aller vite vers les bons choix, creuser en profondeur les outils et les services technologiques disponibles sur le marché et adoptées dans votre secteur d’activité, et ainsi sélectionner les solutions adaptées aux besoins métiers de l’entreprise.

3 – Les capacités à faire des parties prenantes

Pour garantir un juste alignement entre la cible et les moyens, identifier ses propres compétences et capacités à faire (en JH et en €) et s’ assurer du correct dimensionnement des partenaires, et ainsi bâtir sereinement un plan d’action dans lequel chacun est à sa place.

Mais quels sont les inducteurs qui sécurisent le déploiement des initiatives listées dans un SDSI ?

🎯 La taille des projets et des lots : il est essentiel d’adapter les étapes de réalisation et de fixer des jalons et des livrables intermédiaires. Cela permet aux équipes de concrétiser, de célébrer des réussites mais aussi de s’adapter aux aléas et de s’améliorer pour la suite.

💪 L’adaptation aux capacités à faire : ce qui revient à réévaluer et à arbitrer objectivement selon les ressources réellement disponibles en internes et mobilisables en externe. Cet exercice est difficile (et souvent mal vécu) car il se base sur l’introspection des initiatives et des projets et demande une mesure des moyens existants, à l’instant présent.

🔒 La robustesse des solutions à déployer : l’expertise est une bonne voie pour garantir que les solutions à déployer respectent la sécurité, la fiabilité et la résilience du système d’information dans son ensemble.

🤝La collaboration des équipes : pour ne pas parler d’agilité… qu’elle soit synchrone ou asynchrone, qu’elle soit outillée ou non, etc… la collaboration repose sur la transparence et sur le fonctionnement en réseau

Nos convictions

Chez ulimi conseil, nous sommes convaincus que le pragmatisme est la clé d’une mise en place réussie du SDSI. Nous mettons notre expertise et notre expérience au service des entreprises pour les accompagner dans cette démarche stratégique, en veillant à ce que le SDSI réponde à leurs besoins spécifiques tout en étant aligné avec leur ambition et leur capacité à faire.

Nous le disons… et nous le faisons.

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